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Harry Potter et
ses mystérieux pouvoirs
par Hermione359
Chapitre 2
Retour à Poudlard
Harry se trouva dans le bureau de Dumbledore. Le professeur
McGonagall et Sirius étaient également là.
Sirius s'approcha de lui et le serra dans ses bras.
- Harry, je suis content de te voir !
- Heu... Moi aussi. Professeur Dumbledore, pourquoi m'avez-vous
ammené à Poudlard ?
- Comme je te l'ai dit tout à l'heure, tu n'es plus en
sécurité chez ton oncle et ta tante. J'avais mis
une limite de protection pour que Voldemort ne puisse pas entrer
dans leur maison. Mais il a réussi à trouver un
moyen pour la franchir. Fort heureusement, je suis arrivé
juste à temps !
Après qu'il eut dit ces paroles, il y eut un grand silence.
Harry fut le premier à parler :
- Ça veut dire... que je vais rester ici le reste de l'été ?
demanda-t-il avec plein d'espoir.
- Tu as bien compris, lui répondit Dumbledore.
- Mais Sirius, qu'est-ce que tu fais là ?
- Mon rôle de parrain. Cet été j'ai été
innocenté. Le professeur Dumbledore m'a gentiment offert
la place de professeur d'histoire de la magie; Le professeur
étant mort depuis plusieurs années, il avait besoin
d'un remplaçant.
- Ah, mais c'est super ça !
- Heu... oui, mais j'ai des mauvaises nouvelles à t'annoncer.
Et comme tu dois t'en douter, cela concerne
Voldemort... Quand Dumbledore eut dit ces mots, le professeur
McGonagall tressallit, mais elle ne dit rien cependant. Les Détraqueurs
se sont alliés avec lui.
Harry l'observa pendant un long moment.
- Vous... vous êtes sûr ?
- Oui, regarde, c'est dans le journal
Harry prit le journal et lut l'article :
Les alliés de Vous-Savez-Qui
Comme vous le savez tous, Vous-Savez-Qui a repri le pouvoir.
Il n'a pas perdu de temps avant de massacrer de pauvres innocents.
À commencer par les ex-Aurors. Il n'a pas hésité
à tuer Kernings, Joster, Skinarts et Keusbert. Il n'a
pas réussi cependant à s'en prendre à Maugrey
Fol Oeil, cet ex-Auror qui a la facheuse tendance à s'attaquer
à tout ce qui bouge. Mais tout le monde sait que Harry
Potter est la principale cible du mage noir. Mais celui-ci aura
du mal avec la protection que Dumbledore lui procure. Poudlard
a toujours été inaccessible pour Vous-Savez-Qui.
Il paraît cependant que Vous-Savez-Qui s'est trouvé
de nouveaux alliés: les Détraqueurs. Ces bêtes
immondes qui ont pour but d'aspirer les âmes humaines et
de faire revivre les plus mauvais souvenirs de leurs victimes.
Ces derniers ont fait aussi beaucoup de ravages, ils ont abandonné
leur poste de la prison d'Azkaban et ils ont libéré
tous les Mangemorts prisonniers. Les Aurors actuels font leur
possible pour les arrêter mais sans succès. Aucun
des Mangemorts en liberté n'a été retrouvé.
Cette période nous fait penser à celle d'il y a
14 ans. Il semble cependant que cela va être pire qu'avant.
Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom a aquéri beaucoup
de pouvoirs que nous ignorons encore.
Roger Arker, reporter de la Gazette du sorcier.
Harry leva les yeux de l'article et regarda Dumbledore. Pour
la première fois, le professeur McGonagall ouvrit la bouche :
- Potter, comme vous le savez, la situation est grave. Vous êtes
le seul à pouvoir détruire Vous-Savez-Qui.
- Moi ? Mais comment ? je ne sais pas assez de choses
pour le faire disparaître !
- Mais justement, vous allez pouvoir vous entraîner cet
été. Comme vous allez rester à Poudlard.
Vous allez apprendre des sortilèges très complexes,
qui ne sont pas de votre niveau. Ce sera dur, mais si vous avez
la volonté, ce sera plus facile. Vous êtes d'accord ?
- Oui, bien sûr.
- C'est très bien, lui répondit Dumbledore. Maintenant,
Harry, tu devrais aller te coucher. Si tu as faim, il y aura
de la nourriture sur ta table de nuit, je crois que tu n'avais
pas fini de manger avec cette dispute chez les Dursley.
- Heu... oui, merci. Harry se dirigea vers la porte quand le
professeur Dumbledore l'interpela:
- Harry, essaye de ne plus t'enerver comme tu viens de le faire
chez ton oncle et ta tante. Cela pourrait faire mal à
ta cicatrice. Bonne nuit Harry.
Juste avant de franchir la porte, Harry repensa soudain à
ce que l'oncle Vernon avait dit.
- Professeur Dumbledore ?
- Oui, dit-t-il en levant les yeux vers lui.
- Mon oncle Vernon a dit que s'il avait pu, il m'aurait envoyé
dans un orphelinat. Mais pourquoi ne pouvait-il pas le faire ?
- Ça, c'est une réponse que tu sauras, mais pas
maintenant.
- Bon... et bien bonne nuit.
Il se diriga vers la salle commune des Gryffondor pour aller
dans son dortoir. Puis il se souvint qu'il n'avait pas le mot
de passe. C'est alors qu'il entendit une voix derrière
lui.
- Harry ! attends !
C'était Sirius.
- Oui ? répondit simplement Harry
- Harry, Dumbledore a oublié de te donner le mot de passe,
c'est hippogriffe, et puis demain tu devras aller dans la salle
de cours de Méthamorphoses, je t'y rejoindrai pour t'apprendre
quelques sortilèges. Vas y à 10h00 tapantes !
Bonne nuit, Harry.
- Bonne nuit, Sirius.
Puis, après avoir donné le mot de passe à
la grosse dame, il monta dans le dortoir des garçons,
et, comme l'avait dit Dumbledore, de la nourriture l'attendait.
Après avoir bien mangé, il se coucha et s'endormit
jusqu'au lendemain. Mais pendant cette nuit, il fit un cauchemar,
ce cauchemar dura toute la nuit. C'était le même
que d'habitude, Cedric subissait le sort mortel, Avada Kedavra.
Puis il vit Voldemort, mais ce rêve là, il ne l'avait
encore jamais fait auparavant. Voldemort parlait de sa voix aigu
à son serviteur, Queudver.
- Pettigrow, tu n'a pas été très habile,
et même tu as été très imprudent !
tu t'es fait repérer par le ministère de la Magie !
Et maintenant tout le monde sait que Sirius Black est innocent !
Et cet imbécile de Dumbledore lui a offert un poste comme
professeur ! Je dois dire que tu m'a franchement déçu
Queudver...
- Non... Maître, pitié !!!
- Voldemort n'a pas de pitié pour ce qui ne m'obéissent
pas !!! Tu n'as pas suivi mon conseil !!
- Non... Maître... pitié !!!!!!
- Endoloris !!!
Peter s'écroula par terre en poussant des cris de douleur.
Harry ressentait sa douleur. Elle lui faisait mal à sa
cicatrice. C'est comme si sa tête allait exploser.
- Maintenant, Queudver, tu vas te mettre à genoux devant
moi et m'acclamer !!!
- Oh oui maître...
- Bientôt se sera le tour de Harry Potter.... Et j'ai un
plan... Mais je ne vais pas te le divulguer, tu feras tout échouer !
- Je vous jure que je ne ferais rien échouer...
- Endoloris !!! cria Voldemort.
Après un grand moment de douleur qui perça la cicatrice
de Harry, il se réveilla en sursaut. Sa cicatrice lui
faisait toujours mal. Il s'assit sur son lit et attendit une
bonne dizaine de minutes avant que la douleur ne cesse, il était
9h00, Harry s'habilla, prit son petit déjeuner qu'il trouva
sur sa table de nuit, puis il descendit dans la salle commune
en attendant d'aller rejoindre Sirius. Pourquoi sa cicatrice
l'avait fait mal ? Harry eut une pensée soudaine,
Dumbledore lui avait dit une fois que si sa cicatrice lui faisait
mal, c'était probablement que Voldemort ne se trouvait
pas très loin. Mais il n'eut plus le temps de réfléchir
car le moment était venu de rejoindre Sirius dans la salle
de Méthamorphoses.
- Bonjour Harry ! tu vas bien ?
- Oui, ça va.
Il s'abstint de raconter son rêve à Sirius. Il avait
l'air déjà suffisamment inquiet, pas la peine d'en
rajouter !
- Bon, nous allons nous entraîner, on va utiliser un sort
de retour. cela veut dire qu'il renvoi le sort que l'on vient
de te jeter à son destinataire. Il s'appelle Miroiros.
c'est assez difficile à jeter comme sort. Répète
après moi : Miroiros
- Miroiros !
- C'est très bien Harry ! Maintenant on passe à
la pratique, je vais te jeter un sortilège et tu vas essayer
de me le renvoyer. Prêt ? 1...2...et 3 ! Petrificus
totalus !
- Miroiros !
Mais Harry ne put l'éviter, il fut totalement pétrifié,
ses bras se collèrent le long de ses flancs, ses jambes
se joignirent, son corps devint rigide. Mais Sirius s'empressa
de le remettre sur pied.
- Ça n'est pas très grave Harry, je t'avais dit
que ce serait assez difficile.
Au bout d'une demie-heure, il réussit à utiliser
le sort à la perfection.
- C'est très bien Harry ! Je savais que tu y arriverais.
Tu as l'air fatigué. Il faut que j'aille faire quelque
chose, profites-en pour te reposer.
- D'accord.
Après que Sirius fut parti, il s'assit sur une chaise,
puis sans le vouloir, comme si une chose l'obligeait à
le faire, il s'endormit. il rêva une fois de plus de Voldemort,
il était dans un bois, à côté de lui
se trouvaient plusieurs personnes. Mais ce n'étaient pas
des Mangemorts, c'étaient des innocents, il y avait Karkaroff,
Cornélius Fudge, et plein d'autres personnes que Harry
ne connaissait pas.
- Alors ? Vous êtes tous contre moi ? J'ai de
la chance d'avoir des Mangemorts qui reconnaissent les personnes
qui sont contre moi. Karkaroff, tu me déçois énormément,
tu as été trop lâche pour revenir à
mes côtés, tu as trahi trop de Mangemorts. Tu t'es
rangé du côté de mes ennemis ! pour
cela, je pensais simplement te punir, mais je vais faire bien
plus que ça ! Tu vas d'abord souffrir, puis mourir.
Endoloris !!
Karkaroff poussa d'énorme cris de douleur, que Harry poussa
aussi.
- Peter, continue de lui faire infliger le sortilège Doloris,
pendant que moi, je m'occupe de Fudge. Cornélius Fudge,
toi qui ne croyais pas à mon retour, toi qui ne voulais
pas voir ta petite vie chanbouler, eh bien, tu vas être
servi ! Endoloris !!
Fudge poussa également des cris de douleurs. Voldemort
et Queudver leurs firent subir au moins 15 fois de suite le sortilège
Doloris.
- Bon fini de jouer maintenant ! Avada Kedavra !!!
Une lumière verte sortit de la baguette de Voldemort et
toucha Cornélius Fudge et Karkaroff. À peine le
sort les avait touchés, qu'Harry se reveilla en sursaut.
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