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Harry Potter et
le pouvoir du cristal
par Tilicho
Chapitre 2
Sur le Chemin de Traverse
Les deux jours suivants passèrent à une vitesse
fulgurante. Harry avait reçu sa liste de fournitures scolaires
depuis déjà très longtemps. L'oncle Vernon
le conduisit sur le côté moldu du chemin de traverse.
Il grommela très vite un "Au-revoir-dépêche-toi-sois-là-dans-trois-heures"
et il partit. Harry entra dans le minuscule pub du "Chaudron
Baveur" et entendit ses amis l'appeler :
"Harry, Harry, dépêche-toi !
- Bonjour Ron, salut Hermione ! Ça va bien ?
- Ouais, nous, ça va, mais toi ? demanda Ron.
- Ben, je crois que ça va ! Ron, tu as reçu
mon hibou ?
- Oui, et mes frères ont été mis en relation
avec Zonko, ils vont collaborer ! Ils ont juré de
t'offrir autant de farces et attrapes que tu voudras !
- Super ! Autrement, ajouta-t-il en baissant légèrement
la voix, Sniffle m'a écrit.
- Que disait-il ? Il va bien ? demandèrent en
coeur les deux autres sorciers.
- Oui, il paraît que quelqu'un a repéré Queudver
en Ecosse ! Vous imaginez si nous, on le retrouvait ?
- Harry... commença Hermione d'un air sévère.
- Je sais, je sais, il ne faut pas que je mette ma vie en danger,
le ministère retrouvera Pettigrow, mais moi, je ne dois
prendre aucun risque, c'est à peu près ça ?"
Le teint d'Hermione rosit légèrement. Elle balbutia
un "oui" et se tassa sur sa chaise, vexée.
Lorsque tous trois furent réconciliés, ils passèrent
manger une crème glacée chez Florian Fantarôme.
Ils bavardèrent un peu:
"Alors comme ça, Hagrid est parti chercher sa
mère avec Mme Maxime ? C'est peut-être pour
ça qu'il a mis tant de temps à répondre
à ma dernière lettre s'exclama Hermione.
- Oui, sûrement. Et Sniffle m'a aussi donné 95 gallions.
Il a dit qu'il ne fallait pas les dépenser tout de suite,
que je leur trouverai une utilité au cours de l'année.
- C'est bizarre ! Tu es sûr que c'était son
écriture demanda Hermione.
- Je ne me souviens plus, tu crois que cette lettre aurait pu
être envoyé par VOLDEMORT?"
Les gens se tournèrent vers lui, épouvantés.
Une vieille sorcière s'approcha de lui :
"Jeune homme, on voit que vous n'avez pas connu son époque !
Graine de voyou ! Mais, il revient et vous allez vivre des
moments terribles ! Le seul qui puisse nous en débarrasser,
c'est Harry Potter !"
Harry se passa la main dans les cheveux, laissant apparaître
sa cicatrice. La sorcière rougit et bredouilla :
"Oh, monsieur Potter ! Oh, mon dieu ! Je suis
désolée ! Venez tous voir, c'est Harry Potter !
Oui, c'est lui ! C'est le plus beau jour de ma vie !
Oh, monsieur Potter ! Puis-je vous serrer la main, s'il
vous plaît ?
- Euh... oui !
- Oh ! C'est absolument merveilleux ! C'est le plus
beau jour de ma vie !"
Un homme s'approcha d'Harry :
"T'es le fils à James Potter ?
- Euh... oui. répondit celui-ci.
- Faut que tu me suives.
- Mais attendez ! Qui êtes-vous ?
- Pas le temps, dépêche-toi !
- D'accord, mais mes amis viennent avec moi !"
L'homme marqua une pause, il se retourna et examina Ron et
Hermione :
"Retournez avec vos parents !
- Attendez, répliqua Ron, mes parents sont avec mes frères
et soeurs; et les parents d'Hermione sont du côté
moldu. De toute façon, on ne vous laissera pas emmener
Harry comme ça !"
L'homme réfléchit, puis acquiesça. Ils
marchèrent tous les quatre puis s'arrêtèrent
dans l'allée des embrumes.
"Attendez, s'exclama Harry, vous habitez ici ? Vous
êtes un mage noir ?
- Calme-toi, petit, répondit celui-ci en lui serrant le
bras.
- Non, je ne me calmerais pas ! MOI, je ne suis pas un mage
noir, un point c'est tout et je ne veux pas aller dans l'allée
des embrumes ! Et puis, lâchez-moi ! Je hais
les mages noirs, vous me dégoûtez !
- Bon, je ne suis pas un mage noir, j'ai connu ton père.
J'étais un animagus secret, le cinquième de la
bande. Mais, ils me cachaient, ça ajoutait au jeu. J'étais
un enfant maladif, je passais mes nuits à l'infirmerie,
sans surveillance. Mais, malheureusement, j'ai souvent failli
me faire prendre lors de mes escapades dans le parc, notamment
lorsque le saule cogneur a failli m'éborgner.
- Quoi ??? Le professeur Lupin m'a parlé de vous,
vous vous appelez Dave Goujon !
- Ah ? Comme ça ce bon vieux Lunard est devenu professeur ?
Je suis content pour lui, ça a toujours été
son rêve, répondit l'homme d'un air évasif.
- Oui, répondit Hermione, il était professeur de
défense contre les forces du mal.
- Il ne l'est plus ? demanda Dave.
- Non, il a démissionné lorsque Rogue a révélé
aux Serpentard que Lupin était un loup-garou.
- Rogue ? Severus Rogue ? demanda l'homme abasourdi.
- Oui, c'est le maître des potions, dit Ron, je le déteste."
Une grimace apparut sur le visage de Dave.
"Comment un tel imbécile a t-il pu devenir professeur?
murmura-t-il.
- Je me le demande aussi," répondit Ron qui commençait
à éprouver de la sympathie pour Dave.
Ils marchèrent ainsi un quart d'heure en imaginant
les horreurs qu'ils pourraient faire à Rogue pour que
celui-ci démissionne. Tout à coup, l'homme s'arrêta
devant une boutique qui s'appelait "Magie, à la vie,
A LA MORT". Il entra, fit signe aux autres de le suivre.
Seul Harry pénétra dans la boutique. Il sentit
immédiatement après avoir franchi le palier du
magasin une douleur lancinante à sa cicatrice.
Il sortit immédiatement, les mains sur son front qui était
à présent brûlant.
"Harry, s'écria Hermione, que se passe-il? Enlève
tes mains de ta cicatrice, montre-moi ça !"
Lentement, Harry laissa apparaître sa cicatrice en écartant
ses doigts. Son amie poussa un cri :
"Harry ! Oh, mon dieu ! Ron, viens voir ça !"
Ron regarda la cicatrice et s'écria à son tour :
"Harry, que s'est-il passé ? Qu'est ce que
t'as fait ? Ta cicatrice... Oh mon dieu !
- Mais qu'est-ce qu'il y a ? s'énerva Harry, pourquoi
vous criez comme ça ? Répondez- moi !
- Regarde," murmura Hermione en lui tendant un miroir.
Harry s'examina et resta bouche bée de stupéfaction :
sa cicatrice était devenue rouge, presque noire. Mais
elle n'était plus en forme d'éclair.
Elle représentait le signe des ténèbres.
"Qu'est-ce que c'est que ça, encore ? dit-il,
bon, c'est arrivé quand je suis entré dans le magasin,
j'y retourne, on verra bien ce qu'il se passera.
- Harry, ce n'est pas prudent, s'exclama Hermione.
- C'est encore moins prudent de me promener comme ça.
Attendez- moi là !"
Hermione le suivit tout de même, comme un ange gardien.
"La meilleure solution, c'est d'aller voir ce que fait
Dave, répondit Harry en cachant sa cicatrice sous une
mèche de cheveux.
- D'accord", dit Hermione.
Lentement, ils entrèrent dans la boutique.
Hermione poussa un cri, Harry fit aussitôt volte-face et
se retrouva nez à nez avec... le professeur Rogue !
"Euh... bonjour professeur, balbutia le garçon.
- Harry, aide-moi, je t'en prie ! répondit le maître.
- Hein ?! Comment ça ? Vous vous sentez bien,
professeur ?
- Mais, Harry, nom d'un détraqueur ! C'est moi, Hermione !
- Hermione ?! Mais, qu'est-ce qui se passe ?
- Un sortilège très ingénieux !"
murmura un homme derrière Harry.
Les deux enfants se retournèrent. Dave se tenait appuyé
contre une étagère.
"Le patron de ce magasin a utilisé le sortilège
"marketingus", dit celui-ci.
- Et ça consiste en quoi ? demanda Hermione.
- Très simple, il change votre apparence en vous en donnant
une qui vous dégoûte. Harry, tu désires ne
jamais ressembler à un Mangemort, c'est bien ça ?
- Oui.
- Et toi, Hermione, tu ne veux pas ressembler à ce déchet
aux cheveux gras nommé Rogue. Je me trompe ?
- Non, c'est bien ça, répondit-elle.
- Parfait, murmura Dave, je crois que nous allons avoir une petite
discussion avec le patron.
- Euh... Dave, commença Harry.
- Oui ?
- Pourquoi avez-vous conservé votre aspect normal ?"
Dave sourit.
"Parce que je n'ai peur de rien. Je pense que l'on est
comme on est et qu'il faut accepter son apparence. Le sortilège
ne peut avoir d'effet sur quelqu'un comme moi.
- Ah..." répondit simplement Harry.
Ils allèrent directement à la caisse. Un petit
homme à l'allure sournoise se tenait derrière.
Il se recroquevilla en voyant arriver Dave. Il murmura un "Aïe,
aïe, aïe!" à peine audible.
"J'exige des explications ! rugit Dave en montrant
la cicatrice d'Harry.
- Je ne sais pas monsieur, que s'est-il passé ? demanda
le minuscule homme.
- Pas la peine de me mentir, ce lieu est sous l'effet du sortilège
"marketingus", et Harry se retrouve ainsi affublé
de cette horrible cicatrice !
- Oh mon dieu ! Vous êtes Harry Potter ?
- Oui, et j'attends que vous me rendiez ma vraie cicatrice, répondit
sèchement Harry.
- Non, monsieur Potter ! J'attends que vous m'achetiez quelque
chose.
- Vous n'avez pas le droit de faire ça ! Vous n'êtes
qu'un être ignoble ! Je vous déteste, hurla
tout à coup Hermione.
- Bonjour, Severus, belle journée, n'est ce pas dit le
vendeur, qu'est-ce que ce sera aujourd'hui ? Au fait, ma
potion de mort a-t-elle fonctionné ? Vous en êtes
content ? Ah oui, c'est vrai, vous comptez l'utiliser pendant
l'année scolaire, j'avais oublié. Elle est capable
de tuer un être humain, mais, c'est interdit, bien entendu.
- JE NE SUIS PAS SEVERUS ROGUE cria Hermione que Harry n'avait
jamais vue dans un tel état, JE NE VOUS PERMETS PAS DE
M'INSULTER !!!
- Ainsi, mon nom est une insulte..." dit une voix doucereuse
derrière eux.
Harry se retourna. Rogue se tenait derrière eux, un
sourire mauvais aux lèvres. Il était affublé
d'une robe sur laquelle étaient inscrits ces mots :
"Mort à la magie noire".
"Alors, Taylor, tu n'as toujours pas levé ton
sortilège ? C'est ridicule ! Regarde ma robe !
Elle est devenue horrible s'exclama Rogue, elle n'est plus mettable !
- Ce n'est pas grave, je peux t'arranger ça, tu es un
bon client après tout, et de plus, un excellent mage noir !"
Rogue déposa ses articles sur le comptoir, Taylor conjura
le mauvais sort et le maître des potions repartit. Taylor
se tourna de nouveau vers Dave, Harry et Hermione.
"Alors, soit vous achetez quelque chose, soit vous vous
en allez comme ça.
- Voilà, dit Dave en posant un petit paquet enveloppé
de papier kraft sur le comptoir.
- Ah, dit Taylor, je pense que c'est pour le petit.
- Ne pensez pas, ce n'est ni votre fort, ni votre travail, répondit
froidement Dave.
- Oooooh... monsieur Goujon s'énerve, s'exclama le vendeur,
vous me feriez presque peur!"
Dave le regarda d'un air menaçant et Taylor estima
plus raisonnable de ne pas discuter plus longtemps. Dave paya
son achat et ressortit après que Taylor ait conjuré
le mauvais sort.
"Maudit bonhomme, murmura Dave en sortant du magasin.
- Euh... Mr Goujon commença Harry.
- Appelle-moi Dave !
- Oui, Dave. Je peux vous poser une question s'il vous plaît ?
- Oui, tu as l'air d'en avoir envie, non ?
- Mais, c'est peut-être indiscret...
- Vas-y toujours, Harry !
- Voilà, euh... comment dire... Qu'est-ce que c'est que
cette chose ?" demanda Harry en montrant du doigt le
petit paquet.
Dave sourit. Harry détailla un peu plus son visage :
il était plutôt maigre, mais avait vraiment une
apparence agréable. Des fossettes marquaient son visage
au coin des yeux et sur ses joues. Ses cheveux étaient
blancs, assortis à sa barbe bien taillée. Ses yeux
rieurs étaient d'un brun profond.
"Ceci est ta seule chance de voir ton père un
jour, répondit Dave.
- Comment ça ?
- Ça va peut-être te faire un choc...
- Mais qu'est-ce qui va me faire un choc ? s'énerva
Harry, j'ai le droit de savoir, non ?
- Bon, cette chose est...
- Allez-y, l'encouragea Harry.
-...Ce qu'il reste du cadavre de ton père."
Harry se laissa tomber par terre, les yeux exorbités
d'effroi. Dave le prit par l'épaule.
"Je sais que c'est dur pour toi, Harry. Mais ne t'inquiètes
pas, tu ne verras pas de sang. Nous lui avons jeté un
sortilège qui l'a réduit à un simple os.
- Montrez-moi cet os, répondit Harry d'une voix tremblante.
- D'accord, " répondit Dave.
Il enleva le papier kraft et laissa ainsi apparaître
un os de couleur doré. Harry, Hermione et Ron, qui jusque-là
n'avaient prononcé mot, s'écrièrent d'une
seule voix un long "Ooooooooooh!"
Dave sourit et expliqua que les os des véritables sorciers,
des meilleurs mages étaient de couleur d'or pur. Puis,
Dave déclara qu'il lui fallait s'en aller. Harry voulut
le remercier pour ce qu'il avait fait mais le sorcier avait déjà
transplané. Le trio inséparable décida d'aller
boire un pichet de jus de citrouille pour se remettre de ses
émotions. Hermione expliqua aux deux garçons qu'elle
partait le soir même pour la Bulgarie.
L'addition réglée, ils décidèrent
de se rendre à Gringotts pour retirer l'argent d'Harry.
Il remplit hâtivement une grosse bourse d'argent puis,
tous trois partirent acheter leurs fournitures scolaires. Leurs
emplettes finies, Harry décida de faire un tour au magasin
de Quidditch. Il entra, un magnifique balai était posé
au centre de la pièce. Le sorcier lut le nom qu'il portait
et poussa un cri de surprise : son nom était "l'éclair
hp".
Le vendeur accourut auprès de Harry :
"Monsieur Potter! s'écria-t-il, j'attendais votre
visite avec impatience! Avez-vous vu cette merveille ?
- Oh oui, ce balai est magnifique, s'exclama Harry avec enthousiasme,
qui en est le créateur ? Combien coûte-t-il ?
- Le créateur a pris le pseudonyme de "Muscadius
Manson". Et pour le prix, il a demandé à ce
que le balai soit gratuit pour vous. Combien d'exemplaires en
voulez-vous ?
- Oh, non, non s'exclama Harry qui rougit jusqu'aux oreilles,
je ne voudrais pas abuser !
- Mais vous n'abusez pas du tout ! J'insiste ! Le créateur
m'a bien dit que vous pouviez en prendre autant que vous vouliez
sans payer ! assura le vieil homme, si vous en prenez beaucoup,
ça me ferait plaisir.
- J'aimerais en prendre 12, mais c'est tout de même beaucoup,
répondit Harry, tout de même un peu gêné.
- Avec des paquets cadeaux ? Demanda le vendeur.
- De préférence.
- Et voilà, répondit-il en faisant apparaître
de somptueux emballages d'un coup de baguette magique.
- Merci beaucoup, Monsieur, dirent les trois amis en coeur."
Ils sortirent tous trois avec des grands sourires mais une
fois dehors, Hermione se mit à crier à Harry :
"Non mais, franchement ! tu n'as pas honte ?
Douze balais gratuits... Tu es fou ? Ah oui, au fait, qu'est-ce
que tu comptes faire avec douze balais ? Un, ça ne
te suffisait pas ?
- Non. Il y en a un pour toi, un pour Ron, sept pour l'équipe
de Quidditch, un pour Cho (il rougit légèrement),
un pour moi, et un pour... Dumbledore.
- Dumbledore ? Quel est le rapport ? demanda Ron.
- Il s'est toujours conduit comme un père avec moi, sans
que je puisse lui rendre la pareille. Maintenant que j'en ai
l'occasion, je ne m'en priverais pas.
- Ah... répondit simplement Ron.
- Et ce balai pour Cho Chang, tu as oublié que c'était
ton adversaire ?
- Non, Hermione, je n'ai pas oublié.... c'est simplement
que...voilà vos balais! s'écria-t-il pour changer
de sujet.
- Tu n'as pas répondu à la question, rétorqua-t-elle
en guise de remerciement.
- Merci beaucoup Harry ! coupa Ron.
- De rien Ron, ça me fait plaisir !" répondit
Harry.
Il remerciait intérieurement son ami de son intervention.
Ils n'en reparlèrent plus et aidèrent Harry à
porter les paquets et ses affaires. Mais, Hermione eut la merveilleuse
idée d'utiliser un sortilège de rétrécissement
sur les affaires d'Harry qui put ainsi les ranger dans son sac
à dos.
"Tu utiliseras un sortilège d'agrandissement à
Poudlard, dit-elle.
- Merci beaucoup Hermione ! répondit-il
- De rien, de rien. Tu vois que ça sert de lire des livres
pour sa culture générale !
- Ouais, quand on a des idées suicidaires... murmura Ron.
- Qu'est-ce que tu veux dire ? interrogea-t-elle d'un air
menaçant.
- Je veux dire que si tu continues comme ça, on te retrouvera
morte dans la bibliothèque, à force de lire des
bouquins qui servent à rien !
- Excuse-moi, mais aucun livre n'est inutile ! Seulement,
certains sont réservés à une élite,
répondit-elle avec dédain.
- Mais, regarde-moi ça, dit-il en sortant un livre du
chaudron d'Hermione, "Les plus illustres Vélanes
de l'histoire de la magie", et ça ! "Comment
devenir préfet-en chef de Poudlard en dix leçons",
quelle horreur !
- J'ai déjà remarqué que nous n'avions pas
les mêmes centres d'intérêt, répondit-elle
d'un air hautain.
- Ouais, on dira ça comme ça, " rétorqua-t-il.
Harry décida d'intervenir. Il réussit finalement
à les calmer.
Il repartit enfin avec Hermione du côté moldu
du chemin de traverse pendant que Ron allait retrouver sa famille.
L'oncle Vernon attendait Harry. Il se trouvait à côté
des parents d'Hermione, qu'il regardait avec méfiance,
même si ceux-ci étaient moldus.
Après avoir salué Hermione, Harry repartit avec
son oncle.
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